MG : Ils doivent apprendre à faire confiance à l’inconnu. 

JT : 2020, en plus de l’énergie mutable que nous vivons, cela a été une année difficile et dense où la liberté individuelle, la liberté physique, la liberté intellectuelle, la liberté d’expression ont été et sont toujours remises en question. Comment les gens peuvent-ils faire face à ce défi sur leur liberté ?

MG : Ils ne peuvent pas vraiment y faire face ; ils ne peuvent que s’y soumettre. Je vois une vague, comme un grand tsunami qui balaie tout ce qui a été, tout est en train d’être nettoyé, et nous jouons encore à essayer de comprendre ce qui se passe, mais nous ne pouvons pas comprendre ce qui se passe vraiment.

JT : Quand tu dis”jouer aux jeux de la compréhension”, j’ai l’impression que tu parles du défi de comprendre une réalité et la réalité n’est rien qui puisse être compris. 

MG : Exactement. Et j’ai aussi la sensation que nous jouons à cache-cache avec notre vrai moi en ce moment. Et ce jeu entre dans sa phase finale. Le tsunami est maintenant imparable, nous sommes au milieu de la vague et bientôt les choses vont redevenir plus claires, mais nous devons traverser la tempête pour nettoyer tout ce qui est encore là, tout ce qui doit encore être transmuté. 

JT : Donc, la tempête est indispensable pour transmuter l’énergie. 

MG : Absolument.

JT : Nous attendons une éclipse solaire très puissante le 14. Et puis nous avons le solstice d’hiver qui coïncidera avec la conjonction de Jupiter et Saturne le 21 décembre 2020. Beaucoup de choses sont dites à ce sujet par des astrologues experts, des guérisseurs, des canalisateurs. Que peux-tu dire sur cette date importante ? 

MG : C’est un timing magnifiquement orchestré pour nous donner la chance d’utiliser ce moment autant que possible. Nous y arriverons de toute façon ; la seule question est avec quelle facilité et quelle rapidité cela va se faire et cela dépend du collectif. Et ce mois-ci est un mois si critique pour que le collectif s’élève à nouveau et stabilise ces fréquences de plus en plus. 

JT : Que peux-tu dire d’autre sur ce mois important ? A quoi devons-nous faire attention ? 

MG : Les gens ne doivent pas confondre l’extérieur avec l’intérieur. Les événements extérieurs ne sont pas si importants, mais les gens aiment s’y accrocher pour confirmer quelque chose. Tout se joue à l’intérieur. L’extérieur n’est qu’une manifestation pour nous permettre de réaliser comment les choses évoluent, mais ce n’est pas là que se trouve le pouvoir, ni la transformation, c’est à l’intérieur et l’extérieur n’est qu’un reflet de cela. 

JT : Peux-tu en dire plus sur la transformation intérieure ? 

MG : C’est tellement beau. Je peux voir comment de plus en plus de gens sont éclairés et comment la lumière enveloppe la terre. (très émue) Il y a tellement d’amour et nous avons une confiance totale dans l’humanité pour gérer cela. C’est le chemin que nous avons parcouru.

JT : Quand tu dis que tu vois les gens être éclairés un par un et qu’il y a tant d’amour. Vois-tu toute l’humanité, ou y aura-t-il des gens qui ne s’éveilleront pas ou ne feront pas l’ascension?

MG : Ce n’est pas une question de l’un ou de l’autre. Tout le monde s’élèvera en son temps, en son lieu, selon son contrat. 

JT : Est-ce que ces personnes que tu vois s’illuminer avec tant d’amour, auront assez de pouvoir pour changer le paradigme de la planète entière ?

MG : Je peux sentir le pouvoir dans ce corps maintenant et c’est très intense. Et oui, absolument, il n’y a aucun doute à ce sujet, sur le changement, sur le résultat de celui-ci. C’est vraiment juste la transition maintenant.

JT : Sommes-nous, en tant qu’êtres humains, sensibles, intelligents, responsables de la création de cette réalité actuelle que nous vivons via nos attentes d’un résultat ?

MG : Absolument et cela représente le pouvoir que les gens ont  pour influencer avec quelle facilité ou quelle  difficulté nous allons traverser cette transition. Elle se produira de toute façon, et nous l’avons tous accepté. Mais comment nous naviguons à travers elle et comment nous pouvons maintenir notre fréquence, cela est notre pouvoir maintenant.

JT : Je comprends que beaucoup de gens qui sont consciemment présents ici sur la planète pour faire partie de ce grand changement, de cet éveil massif ont tendance à être pris par cette vague actuelle de peur et de rage. Comment pouvons-nous les aider à changer leur perception ? 

MG : Nous ne pouvons pas le faire pour eux. Chacun doit le faire lui-même. Ce que chaque personne qui est plus éveillée peut faire, est de montrer cette fréquence, de montrer cet amour, de l’incarner de plus en plus pour que les gens le voient. Parce que les gens commencent de plus en plus à réagir aux fréquences même si c’est encore inconsciemment, ils peuvent s’identifier à cela et plus ils le voient autour d’eux, plus cela détourne l’attention du récit extérieur qui a lieu maintenant. 

JT : Sont-ils en train de devenir des victimes de cette situation ? 

MG : Personne n’est une victime.

JT : Personne n’est une victime. Donc, avons- nous choisi d’être ici en ces temps ?

MG : Absolument. Et ceux qui veulent croire en ces récits peuvent le faire. C’est leur propre choix, nous pouvons tous faire ce que nous voulons. Et nous n’avons pas besoin de nous préoccuper autant de l’opinion juste ou fausse des autres. La clé est de nous concentrer sur notre développement.

JT : Nous observons des problèmes de santé mentale chez des millions de personnes, en particulier chez les jeunes qui ne voient pas leur avenir. Ils se sentent perdus. Comment peut-on les aider et les assister ?

MG : C’est en fait la remontée à la surface de la folie, qui était déjà là, qui sort maintenant. C’est la manifestation et la transmutation de cela pour être capable d’arriver à un endroit plus sain par la suite.

JT : C’est très intéressant, merci pour cela. On parle beaucoup de la réalité virtuelle ou de la réalité augmentée. Et beaucoup d’entre nous ont senti que le voile entre ce que nous appelons notre propre réalité et la réalité virtuelle devient de plus en plus fin. Quelle est la différence entre la réalité et la réalité virtuelle ? Y a-t-il une différence entre les deux ? 

MG : C’est la réponse que nous allions donner. Pense-tu qu’il y a une différence ? 

JT : Alors, il n’y a pas de différence entre les deux?

MG : Non.

JT : Donc cela voudrait dire que la réalité est votre réalité subjective personnelle et que la réalité virtuelle est tout le reste ?

MG : Nous sommes les créateurs de notre réalité et notre capacité de création subjective fait que la réalité existe. Nous sommes dans, peu importe le nom que tu donnes à cette réalité, tu peux aussi l’appeler une simulation si tu veux. Nous définissons les règles et nous jouons alors le jeu.

JT : Et nous pouvons les changer. 

MG : Absolument.

Avec Amour  
Melanie 

Channelling du 9 décembre 2020

Merci à l’artiste inconnu pour l’image