Les couches principales du Collectif et comment travailler avec celles-ci

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JT : Nous réalisons que le collectif est concentré sur des couches spécifiques. De votre point de vue, quelles sont ces couches sur lesquelles le collectif se concentre actuellement ?

MG : Le collectif est composé de nombreuses personnes différentes qui ont des fréquences différentes. Donc, tout le monde travaille sur différentes couches, mais ce que tout le monde a en commun, c’est que ces couches sont les couches les plus profondes sur lesquelles nous travaillons, les couches de base qui sont enlevées en ce moment.

JT : Pouvez-vous nous en dire plus sur ces couches profondes ? Que voulez-vous dire ?

MG : Nos couches centrales représentent tout attachement qui reste à notre identité.

JT : Donc, je suppose que ces couches peuvent aussi être très difficiles à enlever. Quelles sont celles qui sont les plus difficiles à travailler ?

MG : La peur et la colère.

JT : La peur et la colère. Laquelle des deux est la plus forte ?

MG : Elles n’ont pas de différence en tant que telle, mais elles ont une différence dans leur façon de vibrer. Vous pouvez voir à quel point la peur et la colère sont proéminentes partout dans le monde extérieur en ce moment.

JT : Partout. Pouvez-vous nous dire quelles sont les couches à venir sur lesquelles le collectif doit travailler ? Vous avez dit, laisser aller ces couches comme la peur et la colère, et l’attachement.

MG : Elles représentent la clé.

JT : Comment quelqu’un peut-il faire face à une expérience de choc aigu ou d’accablement ? Quels conseils lui donneriez-vous ?

MG : Ce qui se passe dans une situation d’accablement, c’est que l’identité actuelle de la personne a du mal à intégrer les nouvelles fréquences qu’elle reçoit, ce qui crée un sentiment d’accablement. La façon la plus simple de naviguer à travers cela, nous savons que c’est facile à dire de ce point de vue, mais c’est vraiment de laisser aller les attentes, l’attachement.

Ne le poussez pas à être, ne le prenez pas vers vous, laissez-le être comme il est et ressentez-le. Vous verrez alors que le débordement vous donnera des images ou des sentiments ou quelque chose dans votre corps qui pourra alors vous donner plus d’informations sur la couche qui se présente pour vous personnellement.

JT : Nous remarquons beaucoup de conflits internes entre familles, amis, collègues, la société en général. Comment pouvons-nous gérer le conflit avec quelqu’un d’autre et permettre aux deux personnes d’élever leur fréquence en même temps ?

MG : Les conflits surviennent lorsque les personnes sont attachées à leur point de vue dans une situation et tentent de rendre ce point de vue plus juste que l’autre. De notre point de vue, le conflit est quelque chose d’absolument inutile.

Lorsque vous sentez la tension d’un conflit monter en vous et que vous voulez réagir, prenez du recul pendant un moment, respirez, ressentez et essayez d’écouter intérieurement avant d’agir, car sinon, vous ne faites que réagir à partir d’un vieux schéma.

Si vous vous retenez une seconde, vous créez plus d’espace, et vous vous donnés plus de chances de choisir un chemin différent, plutôt qu’un chemin de réaction à partir de vieux schémas.

JT : Donc, de cette façon, ces vieux schémas s’effondrent aussi ?

MG : Absolument. Avec tous ces conflits qui se produisent maintenant, la situation entière nous aide. Mais puisque nous sommes habitués à condamner les situations inconfortables, nous manquons cette partie, lorsque nous l’abordons de cette façon.

JT : Que faudrait-il pour que les humains cessent enfin de combattre leurs conflits internes et trouvent des moyens de les résoudre ?

MG : Une fois que les gens auront commencé à réaliser le pouvoir de l’amour, et le pouvoir de leur amour de soi, cela les aidera à traverser la situation.

JT : Je crois que l’amour de soi est une question très importante. Je peux le constater dans mon travail personnel. La plupart des gens viennent avec un manque important d’amour de soi, avec des conflits majeurs dus au manque d’amour de soi. Est-ce également une source de conflit plus importante ?

MG : Oui, absolument, c’est le début. Parce que si nous n’aimons pas un aspect de nous-mêmes, nous le séparons de nous-mêmes et une fois que cela se produit, une partie de notre psyché le condamne. Et lorsque nous voyons cela à l’extérieur chez les autres, c’est ce que nous n’aimons pas chez les autres. C’est la projection d’une partie de nous-mêmes que nous ne sommes pas encore capables d’aimer.

JT : Excellent, pourriez-vous décrire ce que nous appelons le processus d’ascension ? Nous savons que cette ascension sera différente pour chacun, mais nous apprécierions vraiment, si possible, de recevoir quelque chose comme un plan du processus.

MG : Pour chacun, le processus d’ascension est un processus très organique. Ce que tout le monde partage concernant la structure est le moment où les gens sont éveillés, si vous voulez, c’est le point de départ, c’est la réalisation, quand ils savent qu’ils sont quelque chose de beaucoup plus que leurs aspects humains qu’ils ont connu jusqu’à cette partie de leur vie.

Une fois qu’ils ont cette prise de conscience, le processus d’ascension commence réellement et il n’y a pas vraiment d’étapes en tant que telles, ce sont des couches, l’abandon de couche après couche après couche. Le temps que prend l’ascension dépend de la capacité de la personne à travailler à travers ces couches. Une couche reviendra encore et encore et encore jusqu’à ce qu’elle soit résolue, jusqu’à ce qu’elle soit transmutée et alors cette personne est prête pour une autre couche et parfois il peut arriver que les gens travaillent sur trois ou quatre couches en même temps.

JT : Donc, nous nous attendons à un changement progressif de la réalité.

MG : Le changement est déjà là.

JT : Nous vivons le changement.

MG : Absolument.

JT : Certaines personnes parlent du changement soudain qu’ils appellent l’événement qu’ils attendent. Nous vivons déjà l’événement, n’est-ce pas ?

MG : Oui.

JT : Nous le vivons. Comment et quand une stabilisation en 5D serait-elle possible ?

MG : Lorsqu’il ne reste plus d’identification au soi et que le soi a été complètement transcendé. Alors la personne fusionne avec son être multidimensionnel.

JT : Est-ce que cela prendra beaucoup de temps ?

MG : C’est toujours là, c’est toujours présent, ce sont les gens qui l’oublient. Lorsque les gens s’alignent en 5D, ils sont déjà là, c’est toujours disponible. C’est quand leur moi revient, ou une certaine forme d’attachement revient, alors ils descendent en fréquence et ne peuvent plus ressentir le 5D, mais le 5D est là tout le temps, toujours disponible.

JT : Toujours disponible, ce n’est donc pas quelque chose qui est sur le point de venir, mais c’est déjà là. Nous sommes pratiquement en train de nous baigner à l’intérieur; nous nageons là-dedans.

MG : Et nous le sommes, c’est notre nature, c’est juste la réalisation que nous manquons.

JT : Merci. De plus en plus de gens voient des phénomènes aériens non identifiés où ils réalisent que nos frères et sœurs galactiques sont avec nous. Y a-t-il un système spécifique qu’ils utilisent pour travailler sur nous ?

MG : Nous avons tellement de civilisations galactiques différentes présentes sur la Terre en ce moment et les différentes civilisations ont des spécialités différentes. Donc, il y a une multitude de façons de travailler avec les gens sur Terre en ce moment.

JT : Est-ce que toutes ces civilisations ont le même plan pour notre planète Terre ?

MG : Le mot plan n’est pas approprié ici. Ce n’est pas un plan. C’est une continuation naturelle de ce qui était, et nous sommes tous ici pour soutenir cela.

JT : Et comment faites-vous cela ?

MG : Nous sommes responsables de l’énergie bleue, de l’essence de la fréquence elle-même.

JT : La fréquence de la planète vous voulez dire ou des êtres sur la planète ?

MG : La planète prend soin d’elle-même, mais elle a aussi vécu tant de douleur. Alors oui, nous l’aidons en termes de fréquence et les humains aussi.

Je vois maintenant beaucoup d’humains différents avec beaucoup de couleurs différentes qui les baignent. Et vraiment tout le monde reçoit la fréquence ou l’énergie ou la couleur dont il a besoin actuellement.

Nous pouvons ressentir ce dont vous avez besoin et lorsque vous êtes ouvert pour le recevoir, nous pouvons vous le donner.

JT : Excellent. J’ai une question concernant les lois universelles. Pouvez-vous nous donner un aperçu de ce que sont les lois universelles ?

MG : Si vous voulez, la loi fondamentale, qui n’est pas une loi mais la nature de tout, est que nous sommes tous Un. C’est le fondement de base.

JT : Donc, nous sommes tous interconnectés, nous sommes Un.

MG : Et nous faisons l’expérience de nous-mêmes de différentes manières pour ajouter à l’expérience de l’Unicité.

JT : Est-ce que cela signifie que nous venons ici pour oublier la conscience de l’unité, et que nous faisons l’expérience de la séparation ? Pourquoi une âme choisirait-elle de venir et de faire cette expérience ?

MG : Parce que cela représente un tel saut dans l’évolution d’une âme de venir ici. La Terre est connue pour être l’un des endroits les plus difficiles pour se réincarner.

Avec Amour 💙🙏 🌈
Melanie

Channelling du 7 juillet 2021

Merci à Adrien Converse pour l’image 🙏

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